De plus en plus de personnes écrivent aujourd’hui. Dès qu’elles sont inspirées, elles se penchent sur divers sujets dignes d’intérêt qu’elles abordent avec humour, sarcasme ou pur réalisme. Cependant, il arrive que leurs manuscrits ne séduisent pas les maisons d’édition en dépit de leur génie ou de leur maitrise de la langue. C’est un coup difficile à encaisser, surtout pour les jeunes auteurs. Il est pourtant indispensable de pouvoir gérer le choc, au vu de son impact dans la suite de la carrière de l’écrivain.
L’art est sensibilité, l’écriture est subtilité. De ce fait, il est souvent très difficile de soumettre son manuscrit à quelqu’un qui en comprend parfaitement le contenu et qui le juge à sa juste valeur. Mais l’écriture a des codes qu’il faut respecter quand l’on projette de se faire publier. Dans ce cas, l’on n’écrit plus seulement pour soi-même, mais pour s’ouvrir au monde, et il est donc nécessaire que les potentiels lecteurs puissent comprendre ce que l’on écrit.
Ainsi, même si l’innovation ainsi que l’originalité de la plume sont fortement encouragées, il n’est pas agréable que l’auteur se mue dans un hermétisme indéchiffrable ou qu’il veuille tout raconter. Car ce sont autant de facteurs dont tiennent compte les éditeurs lorsqu’ils lisent les manuscrits.
Si malgré tout votre manuscrit n’est pas retenu, il faut pouvoir repartir d’attaque. La persévérance doit être votre atout principal. Parce qu’après tout, si l’on vous dit non, c’est pour que vous alliez mieux vous aguerrir. Il est préférable d’avoir un livre parfait sur le marché que d’en avoir un qui déteint sur votre réputation ou insulte votre génie, parce que rempli d’incorrections de tout genre, un livre qui rebute le lecteur et qui essuie les pires critiques des spécialistes.
Cela, de célèbres écrivains l’ont compris avant vous. Il s’agit notamment de Marcel Proust (Du côté de chez Swann), de J.K. Rowling (Harry Potter à l’école des sorciers), etc., et plus récemment de Alain Mabanckou, Leila Slimani… Ces écrivains ont dû s’armer de patience et travailler dur, avant de goûter à la gloire qu’on leur connait aujourd’hui.
Le rejet de votre manuscrit ne traduit pas forcément son manque de qualité. S’il est rejeté, c’est surtout parce qu’il contient des insuffisances qu’il faudra corriger. C’est le lieu de vraiment évaluer votre manuscrit, d’essayer de comprendre ce qu’on lui reproche vraiment.
Lorsque pour une quelconque raison vous essuyez un refus pour votre manuscrit, il est possible de le soumettre à d’autres maisons d’édition. Avoir plus d’avis sur votre manuscrit ne vous fera que du bien ; cela augmentera vos chances d’être enfin compris et publié.
Les raisons du refus d’un manuscrit ne manquent pas de pertinence. Il est donc préférable de corriger votre manuscrit, ce qui revient à le réécrire ou à le retoucher. Cela vous permettra de mieux aborder le sujet de votre développement ou d’être plus en phase avec le genre qui vous sert de moyen d’expression. C’est pourquoi il est conseillé de soumettre votre manuscrit à une structure spécialisée en relecture-correction afin d’augmenter vos chances d’être accepté.
Top correcteurs est une agence de correction et d’aide à l’édition qui peut vous aider à cet effet.
Les ateliers d’écriture sont une bénédiction, quelle que soit votre ancienneté dans l’art d’écrire.
Ils vous permettent d’aller à la rencontre de nouvelles personnes et de découvrir des perspectives nouvelles d’écriture. Ce faisant, vous améliorez votre vision de l’écriture et travaillez votre style.
La perfection n’est atteinte qu’au bout d’un travail acharné. Un manuscrit rejeté n’est pas synonyme d’un manque de génie. De grands écrivains ont dû passer par là pour connaitre la gloire. Faites comme eux. N’abandonnez pas.
Avez-vous un projet d’écriture en cours ? L’un de vos manuscrits a-t-il déjà été refusé ? Parlez-nous de votre expérience.